Stances au créateur et legislateur de l’univers
(Ces quelques lignes ont été rédigées après le tremblement de terre de Gölcuk le 17 Août 1999)
Ô Allah ! Seigneur et Maître des Univers,
Toi qui diriges ces mondes et avant tout cette terre,
Toi l’Omnipotent et l’Omniscient,
Toi le Rapide en calcul et Sévère en châtiment,
Toi qui connais tout du visible au caché,
Toi qui le Puissant le Juste et le Sage,
Toi l’Accueillant au Repentir et le Tout Miséricordieux,
Tu nous as manifesté l’étendue de Tes capacités.
Écrasant de Ton pouvoir ce que l’homme avait façonné,
Ce qui lui avait fait croire qu’il pouvait T’égaler,
Pour ne pas dire Te remplacer,
Parce qu’à partir de Ta Création,
En y apportant des modifications,
Il avait su en toute malice
Rivaliser dans la hauteur des édifices.
Et plus encore en utilisant encore des éléments de Ta création,
Il pouvait se vêtir et se nourrir, améliorant sa condition,
Tu as donc ramené chacun à sa basse condition,
Détruisant en une secousse d’un court instant
Ce que l’homme avait fait en plusieurs ans.
Mais dans Ta première Clémence,
Alors que la désobéissance humaine prenait de l’importance,
Tu ne t’es borné qu’à une simple escarmouche,
Infime échantillon de Ta grande cartouche,
Alors que Tu as épargné une grande partie,
Manifestant là Ta clémence infinie,
Voilà pourquoi je T’interpelle et Te loue,
Améliore ce qui est au plus profond de nous,
Pour en faire ressortir le meilleur,
Ta lumière infinie au sein de nos cœurs,
Et puis encore dans Ta Clémence infinie,
Qui nous as-Tu appris devance Ta colère,
Ne laisse pas tes esclaves sur terre
Adopter une attitude réciproque de mépris,
Et fais-en sorte que de tous les coins du globe,
Les Musulmans soient vraiment des frères.
Guide Ta communauté et tout ce qui l’englobe
Vers la certitude qu’après la vie sur la terre
Il y a une vie remplie de délices
Pour qui T’aura obéi sans caprices.
Et donne-nous le meilleur ici-bas et au-delà,
Entoure de Ta grâce ceux dont Tu nous as retiré la présence,
Nous occasionnant là une grande souffrance,
Tout en leur donnant la plus grande chance,
Celle d’être dans l’au-delà par Ta Clémence,
Parmi ceux que Tu as comblés de bienfaits,
Dans ces jardins pleins de délices,
Oú coulent les rivières pleines de bienfaits,
Les récompensant ainsi de leur supplice.
(Ces quelques lignes ont été rédigées après le tremblement de terre de Gölcuk le 17 Août 1999)
Ô Allah! Seigneur et Maître des Univers,
Toi qui diriges ces mondes et avant tout cette terre,
Toi l’Omnipotent et l’Omniscient,
Toi le Rapide en calcul et Sévère en châtiment,
Toi qui connais tout du visible au caché,
Toi qui le Puissant le Juste et le Sage,
Toi l’Accueillant au Repentir et le Tout Miséricordieux,
Tu nous as manifesté l’étendue de Tes capacités.
Écrasant de Ton pouvoir ce que l’homme avait façonné,
Ce qui lui avait fait croire qu’il pouvait T’égaler,
Pour ne pas dire Te remplacer,
Parce qu’à partir de Ta Création,
En y apportant des modifications,
Il avait su en toute malice
Rivaliser dans la hauteur des édifices.
Et plus encore en utilisant encore des éléments de Ta création,
Il pouvait se vêtir et se nourrir, améliorant sa condition,
Tu as donc ramené chacun à sa basse condition,
Détruisant en une secousse d’un court instant
Ce que l’homme avait fait en plusieurs ans.
Mais dans Ta première Clémence,
Alors que la désobéissance humaine prenait de l’importance,
Tu ne t’es borné qu’à une simple escarmouche,
Infime échantillon de Ta grande cartouche,
Alors que Tu as épargné une grande partie,
Manifestant là Ta clémence infinie,
Voilà pourquoi je T’interpelle et Te loue,
Améliore ce qui est au plus profond de nous,
Pour en faire ressortir le meilleur,
Ta lumière infinie au sein de nos cœurs,
Et puis encore dans Ta Clémence infinie,
Qui nous as-Tu appris devance Ta colère,
Ne laisse pas tes esclaves sur terre
Adopter une attitude réciproque de mépris,
Et fais-en sorte que de tous les coins du globe,
Les Musulmans soient vraiment des frères.
Guide Ta communauté et tout ce qui l’englobe
Vers la certitude qu’après la vie sur la terre
Il y a une vie remplie de délices
Pour qui T’aura obéi sans caprices.
Et donne-nous le meilleur ici-bas et au-delà,
Entoure de Ta grâce ceux dont Tu nous as retiré la présence,
Nous occasionnant là une grande souffrance,
Tout en leur donnant la plus grande chance,
Celle d’être dans l’au-delà par Ta Clémence,
Parmi ceux que Tu as comblés de bienfaits,
Dans ces jardins pleins de délices,
Oú coulent les rivières pleines de bienfaits,
Les récompensant ainsi de leur supplice.
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